Cristallisation secrète de Yoko Ogawa (2009) est un roman du confinement et de l’épuisement. Ce n’est pas la mémoire totale qui y est visée, mais l’oubli complet de toutes choses du monde.
Reprise d’une partie du chapitre 5, de mon essai Figures, lectures. Logiques de l’imaginaire. Tome 1, paru chez Le Quartanier (2007, p. 135-148).
Création et circulation d’oeuvres mixtes dans un réseau universitaire international, feedback.
En un geste d’une simplicité désarmante, un rapide raccourci-clavier permet de capter ce qui apparaît à l’écran.
On assiste, depuis la deuxième moitié du vingtième siècle, à une accumulation étonnante de tentatives d’épuisement, qui témoigne de la très grande force symbolique de cette démarche.